There are only two places in the world where we can live happy : at home and in Paris - Hemingway
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There are only two places in the world where we can live happy : at home and in Paris - Hemingway
26 avril 1986, Pripiat, à quelques kilomètres de Tchernobyl. La vie suit apparemment son cours ordinaire : Anya et Piotr célèbrent leur mariage, le petit Valéry et son père, Alexeï, un ingénieur à la centrale, profite d’une journée de repos pour planter un arbre, tandis que Nikolai, garde forestier, fait sa tournée habituelle dans la forêt… Le destin de ces personnages sera bientôt ravagé par l’« accident » nucléaire. Trois jours plus tard, la population de Pripiat est brutalement évacuée. Anya ne retrouve pas son époux, réquisitionné pour éteindre l’incendie de la centrale. Quant à Alexeï, contraint au silence par les autorités, il disparaît sans en avertir sa famille.
1996. Pripiat, ville fantôme, désertée par ses habitants, est devenu un quasi no man’s land, inquiétant musée à ciel ouvert, gigantesque Pompéi des temps modernes, érigé en un étrange lieu de tourisme où l'on déambule parmi les vestiges. Anya est aujourd'hui guide dans la zone abandonnée, tandis que Valéry y cherche les traces de son père. Et Nikolai persiste a cultiver son jardin empoissonné.
Le temps faisant son oeuvre, l'espoir d'une nouvelle vie leur sera-t-il permis?
L’identité visuelle est baseé sur des formes fortes, très riches et intensives mais avec une palette de couleurs limitée à laquelle vient se joindre une typographie en gras inspirée des salles de concert plus classiques et des panneaux lumineux des cinémas.L’architecte d’intérieur Linda Bergoth a également apporté sa pierre à l’édifice.
Ce qui différencie le Trabendo d’autres salles parisiennes, c’est sa terrasse extérieure, qui en fera un lieu de rencontre privilégié pour flâner avant les concerts - explique-t-elle.Il y avait déjà le Cabaret Sauvage et ses soirées brésiliennes, le Zénith de temps en temps, la Grande Halle de la Villette au début de l'été (Oh, Pitchfork!)... Mais on va pouvoir reprendre nos bonnes vieilles habitudes car on peut de nouveau compter sur le Trabendo, aux vues de la programmation, qui vous donnerait envie de vendre un rein ou deux : Alice Russel, Atlas Sound, Misteur Valaire, Austra, We Have Band, Edward Sharpe & the Magnetic Zeros et les Black Lips. Entre autres.